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Hypnose Mouvements oculaires

Mal-être et rupture

Lorsque je suis allée voir Mme Steinberg pour la première fois je me rappelle que je pouvais à peine lui expliquer mon mal être sans avoir les larmes aux yeux et la gorge nouée.

Je venais d’arriver dans la région Parisienne pour rejoindre mon copain et en quelques mois notre couple ne fonctionnait plus. Je devais alors repartir de zéro seule. J’avais un travail, m’étais faite une amie mais cette épreuve à été pour moi l’élément déclencheur d’un mal être qui était présent depuis des années, depuis l’enfance: le sentiment d’abandon. Je perdais l’appétit, n’avais envie de rien, je me renfermais, je n’avais pas envie de côtoyer du monde ni même parler à ma famille. Je me sentais seule et n’acceptais pas mon sort. L’histoire n’était pas dramatique, en effet il s’agissait d’une simple rupture comme une autre mais le mal être en moi grandissait et m’empoisonnait l’existence… j’étais affectée par tout. Un jour je pouvais aller de l’avant, le lendemain je faisais marche arrière. A chaque chute je m’enlisais un peu plus encore.

Grâce à Elisabeth,  en deux séances à une semaine d’intervalle ce fardeau n’existait plus.  Le poids que j’avais sur le coeur, la tristesse ressentie s’en sont allés.

Ma première séance de mouvements oculaires avait traité plusieurs maux: le deuil de la séparation, le sentiment de culpabilité, la perte de confiance en moi et la grande sensibilité que j’éprouvais . Dès la fin de cette séance je me suis sentie soulagée, je retrouvais l’appétit et le sourire également.

A ma seconde séance en hypnose cette fois nous avons traité le problème de fond : le sentiment d’abandon qui remontait à mes 12 ans en lien avec ma maman. Pourtant je vous assure je suis et j’ai toujours été très proche d’elle. Nous nous aimons forts.

Puis, en l’espace de quelques semaines je reprenais ma vie en main, à sortir, à me sentir libre, bien dans ma peau et dans ma tête. Je ne me sentais plus affectée. Mon cerveau était libéré et mon coeur soulagé.

Je remercie de tout coeur Elisabeth de m’avoir aidé. Il n’y a selon moi jamais de « petits maux ».

V.H. – 28 ans